.: mai 2014

vendredi 2 mai 2014

fresques

Murs peints

Dans un salon de grand appartement

Plafond

Mur de la tête de lit, chambre

Sur tout un mur de salon

Mur autour d'une porte d'entrée appartement

Hall d'entrée maison particulière

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Qui êtes-vous ?

Née en Russie, à la frontière de l'Europe et de l'Asie.

Formation : Peintre, décorateur scénographe, professeur des Beaux-Arts.

Elle a fait un cycle complet d'éducation en art académique.

Pour enrichir son apprentissage, elle a aussi étudié la peinture d'icônes russes et l'art populaire.

Pris part à plusieurs expositions collectives et personnelles en Russie et en France.

Ses œuvres sont dans des collections privées dans plusieurs pays.

Elle aime : Rembrandt, Turner, Jerôme Bosch, Albrech Dürer, la couleur des Impréssionnistes, les Surréalites : René Magritte et Salvador Dali

Les Arts Décoratifs

du 2 février 2012 au 15 novembre 2013 Le trompe-l’œil est, comme son nom l’indique, destiné à tromper l’œil et trouve son origine dans les fresques et mosaïques antiques. Le récit le plus ancien qui marque le début du trompe-l’œil est celui de Pline l’Ancien. Il rapporte dans son Histoire naturelle comment le peintre Zeuxis (464-398 av. JC), dans une compétition qui l’opposait au peintre Parrhasius, avait représenté des raisins si parfaits que des oiseaux vinrent voleter autour. Si l’Antiquité est le point de départ de cette illusion parfaite, la Renaissance et le Maniérisme vont amplifier ce phénomène avant que la période Baroque n’en fasse un genre à part entière. La virtuosité atteint alors son comble et cette illusion doit alors beaucoup aux techniques de la perspective et du clair-obscur. Toutes les périodes vont s’y intéresser, même si les supports et les enjeux ne sont plus les mêmes.

''Kunstgewerbemuseum''

Le Musée des Arts décoratifs de Berlin, dit ''Kunstgewerbemuseum'' en allemand, est le plus riche et le plus ancien musée d’Arts décoratifs d’Allemagne, et ce malgré les pertes subies pendant la Seconde Guerre Mondiale. Il fait partie du complexe culturel ''Kulturforum''. Le bâtiment actuel, divisé en deux parties (l’édifice principal et la dépendance du château de Köpernick), a été finalisé par Rolf Gutbrod entre 1978 et 1985 malgré de vives critiques. Le musée existe toutefois depuis 1874 grâce à l’obtention du Trésor du Conseil de la ville de Lüneburg et grâce aux dons d’œuvres de l’ancien Cabinet royal des curiosités. En 1936, il exposait les trésors de la cathédrale de Braunschweig avant que ces derniers ne soient disséminés entre l’Est et l’Ouest de Berlin. En 2004, de nombreuses améliorations et des aménagement ont été réalisés. Au Musée des Arts décoratifs, vous pourrez apprécier des œuvres européennes de l’Antiquité jusqu’à des pièces plus modernes, acquises en 2003. Pour y aller en métro, descendez simplement à la station ''Potsdamer Platz''.

Salon MAISON & OBJET

Du 18 au 22 janvier 2013, Paris Nord VillepinteL'art de vivre aspire au mieux-vivre. Un monde dématérialisé et virtuel veut retrouver un mode de vie harmonieux, plus ancré dans le réel. Une nouvelle vitalité sublime les richesses de la Nature. La création recompose ainsi un monde bio-inspiré. L'univers de la maison, véritable organisme vivant, participe à cette dynamique de revitalisation. On redécouvre la force première des nourritures originelles. On explore les modalités d'un confort émotionnel où le Beau prédomine. On expérimente les champs neufs de la science pour fonder l'espoir d'une renaissance. Manifeste pour un présent meilleur avec pour mot d'ordre : la vie à fond.

MUSÉE D'ART ET D'HISTOIRE, Genève

Un département pluriel Le Département des arts appliqués, créé en 1995, abrite des collections qui vont de la fin de l’Antiquité à nos jours. Elles se caractérisent avant tout par leur diversité, allant de la hallebarde à la croix byzantine, de la théière en argent au drapeau, de la commode au clavecin, ou encore de la tapisserie aux icônes. Cette variété, cette richesse, tangibles déjà depuis les origines du Musée d’art et d’histoire, sont l’essence même de ce département.

Musée des Tissus et Musée des Arts décoratifs de Lyon

LYON ET DRAGONS, les plaques émaillées des dessiccateurs de la Condition des Soies Du 17 novembre 2012 au 17 mars 2013 Le musée des Tissus de Lyon présente une intrigante collection de plaques émaillées destinées à orner les cuves des dessiccateurs de la Condition des Soies. Curieusement associée au perfectionnement et aux innovations majeures de la Fabrique lyonnaise au XIXe siècle, leur iconographie chinoise révèle le fantasme orientaliste de l’époque à travers la représentation de techniques de tissage ancestrales.